Jour 12 et 13 - Retour à St Raphael

Publié le par steph et matth

Le 10 nov.2011


Enfin une fenêtre méteo pour quitter l'île ! Nous partons vers 9h45 de Porquerolles, aprés avoir été payer la Capitainerie.

Il n'y a pas de vent, c'est le calme plat. La mer est belle, il fait soleil, on est bien loin de la méteo de ces derniers jours!

Il y a de nombreux débrits flottants, nous faisons route au moteur, pour ne pas avoir a tirer des bords (de toute facon ce n'est pas le vent qui nous décoiffe !).

Le moteur marche bien, on avance bien, face au vent.

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Il est 14h40 quand nous arrivons devant le port de Cavalaire. La décision est prise de ne pas continuer plus loin aujourd'hui, pour ne pas naviguer de nuit et prendre le risque de heurter les débrits.

Suite à une mauvaise compréhention entre nous et la Capitainerie à la vhf, nous devons patienter jusqu'a 14h devant l'entrée du port, nous nous mettons alors à la bouée.

Le ponton d'accueil est vide, on ne s'amarre pas comme il faut du premier coup, Loarwenn vient se mettre à couple le long du quai. Allez on recommence, on fait un tour et on se réamarre.

On est bien crevé ! on a bien droit a un petit restau ! Moules frites pour les deux équipages, et pour les parents de Matth.

Pas beaucoup de photos, nos portables ont rendu l'âme pendant la tempête.

 

Le 11 nov.2011

 

 Départ vers 8h ce matin pour St Raphael.

La mer est belle, mais il fait plus frais, le temps est couvert. Toujours le vent de face, toujours au moteur, on déroule quand même le génois un petit moment. Quelques éclaircies aprés la baie de St Trop. Quelques debrits flottants.

Nous naviguons côte à côte avec le Di Palaugui.

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Le Di Palaugui

Nous arrivons à St Raphael à 13h.

Notre comité d'accueil (le même que pour le départ!) nous attend pour nous aider à nous amarrer.

Nous étions en train de tourner pour rentrer dans notre place, Matth se met au ralentis, quand le moteur cale. On redemarre, il remet le ralentis, on re-cale ! et ca deux ou trois fois. C'est  pas grave, on a assez d'élan finalement, et le bateau rentre presque tout seul. Merci à Georges et à Laurent.

(Et comme il fait faim, c'est tout les six que nous allons manger au Casa Cosi, pour fêter notre retour!)

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